Des fois mais juste des fois, c'est calme sur la rue et on dirait presqu'une route de campagne et je me perds un peu dans mes pensées, je retourne aux Îles avec lui , les matins tranquilles à boire notre café sur la table à pique-nique, à se regarder et à sourire comme deux épais c'est trop cool ici c'est ça que je lui répétais et il serrait ma main très fort en disant qu'il ne voulait pas que ça finisse.
Maintenant on se croise sur facebook Jean-Philippe is online on se demande comment ça va pis on se parle de tout mais surtout de rien et il m'avoue presque gêné qu'il n'est pas prêt à repartir aux Îles, qu'il y rêve aussi à cette librairie-café mais que finalement non, il est bien chez lui, il a la tête ailleurs, d'autres projets et je dis oui oui bien sûr, je m'attendais à rien d'autre.
Et c'est triste ou ça ne l'est pas?
RépondreSupprimerun peu pas beaucoup beaucoup.
RépondreSupprimerQuelque fois , ça part , c'est tout , c'est de même les feelings. Comme des leggins ; des fois t'estrouvent bien beau et si pratique et d'autre fois tu te sent comme une b.s et tu prendrai un pack de Tremblay.
RépondreSupprimerJ'adore ton image de leggins. Asteur, corrige tes fautes! ;)
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