Puis tranquillement,
en laissant le vent des Îles souffler sur mes peurs et mes doutes,
mon quotidien s'est transformé en ce que j'ai surnommé :
La dérive de ma reconstruction
"Quand je vois la mer en vacances, je me sens comme si j'avais trahi la plus belle partie de moi : je comprends pas pourquoi je vis loin de la mer tout le temps.."
j'ai appelé mes histoires; dérives d'une reconstruction.
RépondreSupprimeron connecte. ;)