On est parti vendredi soir un peu tard pour éviter le trafic mais finalement, ils sont tous partis vendredi soir un peu tard pour éviter le trafic.
On a écouté Sunset Rubdown, toujours la même toune sur repeat mais le lendemain, on s'est forcé pour écouter d'autres tounes et on a découvert Stadium and Shrines II et The empty threats of little lord.
On a chanté fort vraiment très fort et très souvent la toune de Phil Collins qui m'aurait fait brailler comme une vache si j'avais été encore triste à cause de lui mais thank god, les chagrins d'amour, ça passent.. So take a look at me now, 'cos there's just an empty space. And there's nothing left here to remind me, just the memory of your face..
On a passé la journée dans un camping qui fêtait la fin de l'été avec une épluchette de blé d'inde et une soirée western - du gros bonheur sale j'te jure, j'ai failli pleurer à les voir danser comme ça pis finalement, la soirée transformée en nuit dans une roulotte chauffée avec les parents de la voisine.. on a parlé de la vie tellement intense des fois, on a failli presque presque pleuré, on a joué à des jeux, on a mangé des chips en buvant du coke, on a ri pis surtout, on aurait pas voulu être ailleurs.
On a loué The Last Song (pourri) et Les Sept jours du talion (je m'attendais à pire dégueu, imagine) pis j'ai acheté Where the wild things are parce que c'est juste trop beau le film et trop bon le soundtrack.
On a magasiné au Carrefour de l'Estrie comme si on était riche like hell pis j'ai succombé à la veste de mes rêves et à un pantalon genre jogging strech qu'on m'a recommandé de NE PAS acheter mais que j'ai acheté quand même à 100 piasses sur visa, ça va.. pis fuck je regrette un peu mais pas vraiment.
J'ai dormi des nuits de 10 heures en faisant un cauchemar genre un cauchemar fuckin épeurant à chaque nuit et finalement, la grande leçon du weekend - on a beau avoir vingt mille postes avec Illico, y'a jamais rien de bon à 1h du matin.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire